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Des Arènes à la Maison Carrée, des faubourgs à la Tour Magne, du Carré d’Art à la place d’Assas, Nimes est à la fois romaine, classique et contemporaine. Ville d’Art et d’histoire, dynamique et consciente de ses trésors, Nimes a conservé les témoignages d'un passé prestigieux.

 

Posée au carrefour de l'Histoire et des relations humaines, la ville de Nimes a une origine antique. Romaine et hispanique, camarguaise et cévenole, languedocienne et provençale, Nimes est riche en cultures et en histoire.

 

Sites et Itinéraires touristiques de Nimes :

 

Grand Temple (XVIIIe), Saint Paul (XIXe), Cathédrale (XIe et XVIe), Petit Temple (XVIIIe), Chapelle des Jésuites (XVIIe)

 Arènes (1er après J.C.) - Hôtel de Ville (XVe-XVIe) - Nombreux Hôtels particuliers (XVI-XVII-XVIIIe s.) - Maison Carrée (An 5 après J.C) - Tour Magne (15/16 av. J.C.) - Temple de Diane (I/IIème siècle ap J.C.)

Architecture contemporaine : Carré d'Art de Norman Foster, Nemausus de Jean Nouvel, Abribus de Philippe Starck, Stade des Costières de Vittorio Gregotti et Marc Chausse et Colisée de Kisho Kurokawa.

 Vestiges des remparts et portes romaines : porte d'Arles (dite d'Auguste) et porte d'Espagne (dite de France) - Castellum : unique au Monde

 

Géographie de Nimes :

 

Nimes est située dans une « cuvette » — d'où les importantes chaleurs estivales et les possibles inondations — entre sept collines (en réalité, seulement trois grandes topographiquement), comme Rome. Cette particularité, ainsi qu'une histoire romaine très marquée, valurent à Nimes l'appellation de « Rome française ». En pleine garrigue, Nimes se trouve à 35 km de la mer Méditerranée, à 20 km de la Camargue, à 40 km des Cévennes et à 20 km du Rhône. Nimes marque la frontière entre la Provence (son extrémité ouest), et le Languedoc (son extrémité est). Nimes est, en outre, très proche d'autres grandes villes : Avignon (40 km), Arles(30 km) ou encore Montpellier (50km).

 

Histoire de Nimes :

 

VIe siècle avant JC

L'origine de Nimes remonte au VIe siècle av. J.-C. Une tribu celte, les Volques Arécomiques, s'installe autour d'une source généreuse. Les Volques divinisent la source, lui consacrent un sanctuaire. Petit à petit, les constructions primitives font place à des édifices en pierres sèches. Parmi eux, une tour haut perchée sur la colline, la Tour Magne, sera plus tard transformée pour être intégrée aux remparts romains.

 

120 avant JC

En 120 avant JC, les Volques, à la tête d'un vaste territoire de 24 oppidums accueillent sans résistance les légions de Rome. Nemausa (du nom du dieu de la Source), la ville gallo-romaine est sur le point de naître.

 

 100 avant JC

La romanisation de Nimes commence véritablement au cours du premier siècle avant JC. Nimes devient "colonie de droit latin" et se couvre de somptueux monuments. L'empereur Auguste (Octave) et ses successeurs en font une ville de promotion de la romanité en Gaule. Nimes s'agrandit.

 La monnaie, frappée à Nimes, célébrait une victoire en Égypte de légionnaires ayant obtenu des terres de la colonie nîmoise : en 31 avant J-C, Octave défait à Actium la flotte d’Antoine et Cléopâtre et s’assure la mainmise sur l’empire ; César Auguste est né. Cette monnaie (As de Nimes, une des plus célèbres de l'Empire romain) est à l’origine des armoiries de la ville de Nimes : un crocodile enchaîné à un palmier couronné de lauriers qui symbolise l’Égypte vaincue.

 

IIe siècle

Au IIe siècle, Nimes, étape idéalement située sur la via Domitia qui relie Rome à l'Espagne, est à son apogée. On estime la population à près de 25 000 habitants. L'enceinte nîmoise est alors longue de 7 km et englobe 220 ha. Nimes devient donc une importante ville de l'Empire romain et une des plus brillantes de la Gaule romaine et narbonnaise. L'empereur Antonin le Pieux, originaire de Nimes y contribue encore. Cette période très prospère est illustrée par de splendides monuments pour certains dans etat de conservation exceptionnel (parmi les plus beaux et les mieux conservés du monde romain) : l'Amphithéatre dit "les Arènes" d'une capacité de 25 000 places, la Maison Carrée, la Tour Magne (ancienne tour gauloise réhabilitée par les romains), le "Temple de Diane" et les aménagements culturels autour de la source sacrée de la Fontaine, l'arrivée de l'eau au Castellum grâce à la construction d'un aqueduc depuis Uzés sur 50km dont le Pont du Gard constitue l'élément le plus remarquable, etc.

Deux portes romaines sont encore conservées: la porte d'Auguste et la porte de France.

 

IIIe siècle

Au IIIe siècle, des invasions successives ralentissent l'essor de la cité antique.

 

Ve siècle

Au Ve siècle, l'arrivée et l'installation des Wisigoths met fin à la prospérité de la cité antique.

 

Moyen Âge

Nimes fut en déclin lors du Moyen Âge, mais Nimes sort de sa léthargie à partir de l'an mil. Une nouvelle enceinte est construite. Nimes appartient alors aux comtes de Toulouse. Grâce à la vigne, à l'olivier et à l'élevage du mouton, les échanges commerciaux redémarrent. Et là encore, la Source intervient. Ses eaux qui courent à travers la ville de Nimes vont au cours des prochains siècles amener la prospérité aux tanneurs, teinturiers et marchands d'étoffes.

 Après la conquête capétienne qui suivit la croisade des Albigeois de 1209, Nimes fut incluse dans la sénéchaussée de Beaucaire, qui se composait des vigueries suivantes: Aigues Mortes, Alais (Alès), Anduze, Bagnols (sur Cèze), Beaucaire, Lunel, Nimes, Roquemaure, Saint-André (Villeneuve les Avignon), Saint-Saturnin-du-Port, (Pont-Saint-Esprit), Sommières, Uzès, Le Vigan et Meyrueis, Montpellier, et les bailliages du Gévaudan, du Velay, du Vivarais.

 

XVIe siècle

Durant la Réforme, les conflits religieux font de Nimes l’une des plus importantes communautés protestantes de France. Au début du XVIe siècle, les idées de la Réforme se sont ici répandues très rapidement : dans cette région de droit romain écrit, l’accès direct en français à la Bible, le livre-référent, prôné par la Réforme est immédiat.

 En 1537, deux réformés nîmois sont suppliciés. François Ier ordonne « d’extirper cette malheureuse secte luthérienne », mais sa sœur, Marguerite de Navarre, amie de Calvin, intercède pour donner à Nimes une université dirigée par des érudits protestants. Sous le règne du nouveau roi, Henri II, Nîmes s’affirme comme la « petite Genève ».

 Les guerres de Religion sont très violentes dans cette Nimes devenue en majorité huguenote. Le protestantisme a en effet eu une influence considérable sur la ville (aujourd'hui dans une bien moindre mesure : les protestants ne représentent plus que 12% de la population mais l'histoire protestante reste vivace). Au cours des guerres de religion, de nombreux protestants périrent, furent condamnés aux galères, ou emprisonnés, notamment dans la fameuse « Tour de Constance » à Aigues-Mortes. En réprésailles, la cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Castor fut détruite à deux reprises, en 1567 (Massacres de la Michelade) et 1621. Certains évêques ont alors cherché à développer une forte activité catholique, surtout au XVIIIe siècle. Très vite, les protestants, écartés de la vie publique, se sont tournés vers le commerce et la production manufacturière.

  

 

 

 

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XVIIe siècle

Puis, à partir de 1598, l’édit de Nantes assure la coexistence religieuse alors que les marchands les plus aisés sont principalement des huguenots. En 1665, Nimes compte alors 20 000 habitants dont une large majorité de protestants : "8 000 catholiques et 12 000 huguenots"

 Mais la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV en 1685 et la démolition de tous les temples de l'Eglise Réformée replonge pour plus d'un siècle les huguenots dans la clandestinité. Les assemblées de prières se tiennent hors de la ville désormais "controlée" par une place forte royale (Fort "Vauban") ; c'est la période dite du "Désert" . D'autres protestants français prennent le chemin de l’exil , les persécutions redoublent.

 

XVIIIe et début XIXe siècle

En 1702, la guerre des Camisards éclate. Pendant deux à trois ans, 2 000 paysans cévenols tiennent tête aux soldats du Roi (les Dragons). Celui-ci négocie la reddition des insurgés en 1704. Par la suite s’ouvre une période de tolérance sanctionnée par un édit en 1787. La Révolution voit s'affronter la bourgeoisie protestante de Nimes, favorable aux idées révolutionnaires et les classes moyennes catholiques. L'intervention armée des paysans protestants cévenols assure la victoire de la bourgeoisie. Plusieurs pasteurs sont d'ailleurs les députés de Nimes aux assemblées politiques révolutionnaires.

  

 

À la Renaissance et surtout aux XVIIIe siècle et XIXe siècle, Nimes connaît un impressionnant essor. Notamment, de grandes manufactures de tissus se développent — ainsi, et ce n'est pas une légende, les premiers jeans (Levi's) furent réalisés à Nimes avec une toile résistante, d'abord conçus pour les bergers cévenols et pour les marins gênois, ensuite pour les colons de l'ouest américain, chercheurs d'or et "cow-boys". D'où les termes « Jean (Gênes) Denim (De Nimes)». Des métiers à tisser cette toile sont visibles au Musée du Vieux-Nimes. Bientôt la production d'étoffes et du bas de soie s'exporte en Europe et aux Indes espagnoles. Les deux tiers de la population active de Nimes sont employés dans le textile.

  

Voilà qu'apparaissent de superbes hôtels particuliers, voilà que se dessine un renouveau urbain. La vieille citée sort enfin de ses remparts abattus. Par hasard, au siècle des Lumières, on redécouvre le sanctuaire romain de la Source. On en fait un grand projet d'urbanisme, qui donne naissance aux somptueux jardins de la fontaine. L'industrie de la soie se reconvertit dans la confection de châles grâce aux premiers métiers Jacquard initiés par Turion, un ouvrier nîmois. L'industrie textile nîmoise vit alors son âge d'or.

 

XIXe siècle

Mais la concurrence lyonnaise sera rude durant la deuxième moitié du XIXe siècleet la bourgeoisie de Nimes réinvestit les capitaux du textile dans le vignoble. La culture de la vigne est facilitée par la construction du Canal du Midi et surtout sa liaison au Rhone par Sète. Le transport du vin est grandement favorisé par la construction d'un chemin de fer à Nimes dés 1839 (développé rapidemment grace à l'ingénieur Paulin Talabot et l'industriel Charles Dombre). C'est une nouvelle ère de prospérité, au prix d'une sérieuse paupérisation de la classe ouvrière de la ville. Le quartier de la nouvelle gare(1842-44) est somptueusement aménagé(avenue Feuchères de 300m de long sur 60m de large 1842, vaste Esplanade et fontaine monumentale de Pradier 1851 mise en perspective sur les arènes et le nouveau palais de justice par Bourdon (1836-46) ; préfecture 1855,etc...) et se couvre d'hôtels particuliers. La gare de Nimes et sa gare des marchandises deviennent le centre de transit du charbon cévenol (Alés, La Grand'Combe ) vers Beaucaire et le Rhône. Les grands boulevards entourant "l'écusson médiéval" font également l'objet d'importants aménagements dès le debut du 19ème ; grand théatre néo-classique et remaniements urbanistiques autour de la Maison Carrée (1798-1822) ; église Saint Paul de style Néo-roman par Questel et Flandrin (1849), église Sainte Perpétue (1855-65) dont le haut clocher domine l'esplanade, église Néo-gothique Saint Baudille (1867-77), nombreux immeubles bourgeois...

 

Il est à souligner que Nimes a toujours été inspirée et influencée par de multiples cultures, ceci étant notamment dû à sa situation géographique exceptionnelle : les cultures latine, occitane, provençale, protestante, cévenole, camarguaise — et en particulier la Tauromachie et l'Espagne. Les références architecturales à la romanité de la ville sont évidemment très nombreuses depuis la Renaissance.

 

XXe et début XXIe siècle

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la ville est bombardée à deux reprises par l'armée de l'air américaine, subissant de lourds dégâts matériels et humains.

 Le premier bombardement se déroule le 27 mai 1944 et prend pour cible la gare de triage de Courbessac. C'est le 55th Bomb Wing de la 15th USAAF qui est chargé de l'opération, avec ses B-24. Les bombardiers larguent près de 1.000 bombes, mais touchent surtout la ville. Le bilan est très lourd : 271 morts, 289 blessés et plus de 5000 sinistrés.

 Le 12 juillet 1944, les bombardiers américains effectuent une nouvelle mission sur le triage de Courbessac. Ce sont toujours les B-24 de la 15th USAAF qui opèrent sur la ville avec les 55th (déjà présent le 27) et 49th Bomb WIng. Cette fois, le triage est bien touché et on ne relève que 20 blessés.

 

 Aujourd'hui, Nimes se remodèle. Depuis une vingtaine d'années, Nimes mène une politique délibérée de constructions contemporaines dans le cœur ancien. Nimes réhabilite ses quartiers anciens et s'étend vers le sud. Elle confie ses projets d'urbanisme et d'architecture aux plus grands créateurs internationaux : Norman Foster, Vittorio Gregotti, Kisho Kurokawa, Jean Nouvel, Martial Raysse, Philippe Starck, Jean-Michel Wilmotte. Ces réalisations, dont la plus connue est le Carré d'art, réalisé par Norman Foster juste en face de la Maison carrée, ont suscité des oppositions.

 

Prouesse technique entre toutes, Finn Geipel et Nicolas Michelin offrent aux arènes une couverture de toile gonflable, amovible aux beaux jours. Hiver comme été, Nimes organise des spectacles dans les arènes.

 

Monuments et lieux touristiques de Nimes :

Nimes est classée ville d'art et d'histoire.

 

Connue sous le nom de Colonia Nemausa à l'époque romaine, Nimes possède de nombreux monuments romains : porte Auguste, temples — comme la célèbre « Maison Carrée » —, amphithéâtre, tours et remparts. L'aqueduc du Pont du Gard a été construit au premier siècle de notre ère pour alimenter la ville de Nimes en eau depuis une source près d'Uzès.

 

L'amphithéâtre romain : "Les Arènes"

Construit à la fin du premier siècle après J-C, l’amphithéâtre de Nîmes mesure 133 mètres de long et 101 mètres de large. La façade, haute de 21 mètres, est composée de deux niveaux de 60 arcades chacun. À l’intérieur, près de 25 000 spectateurs pouvaient assister aux combats d’animaux et de gladiateurs. Aujourd’hui, les arènes, lieu de prestige, se transforment régulièrement en une grande salle de spectacle où artistes nationaux et internationaux viennent régulièrement se produire. Elles constituent de même le cœur des ferias de Nimes, où l’âme ibérique de la ville plane lors de corridas renommées réunissant des milliers d'aficionados venus du monde entier.

 

 

 

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Une légende affirme qu'un tunnel relierait les Arènes de Nimes à celles d'Arles. Ce tunnel traverserait ainsi le Rhône. En réalité, de nombreux tunnels existent sous les Arènes, correspondant à un système très perfectionné d'égoûts romains.

 

La Maison Carrée à Nimes :

 

La Maison carrée, emblème de Nimes, construit au Ier siècle après J.-C., ce temple romain dominait le forum de la ville antique.

 

Dédiée à Caius et Lucius César, petits-fils et fils adoptifs de l’empereur Auguste, la Maison Carrée est le seul temple du monde antique complètement conservé.

 

La Maison Carrée est entourée d'une colonnade, élevée sur un podium et marquée dans son architecture classique par une influence grecque. Elle appartenait autrefois à un important ensemble immobilier.

 

Le Carré d’Art à Nimes :

 

Face à la Maison Carrée, conçu par le célèbre architecte lord Foster, le Carré d’Art regroupe une bibliothèque de plusieurs milliers d’ouvrages, une bibliothèque sonore, une médiathèque et un musée d’art contemporain. La collection réunie comprend près de 370 œuvres et offre un panorama de la création contemporaine des années 1960 à nos jours.

 

Les Jardins de la Fontaine à Nimes :

 

Les Jardins de la FontaineAménagés au XVIIIe siècle, ils constituent l’un des premiers jardins publics d’Europe.

 

Respectant le plan du sanctuaire antique autour de la source fondatrice de la ville (Nemausus), J-Ph. Mareschal et G. Dardailhon ont dessiné (sous l'influence de Le Nôtre) un jardin à la française des plus remarquables où sont actuellement rassemblées de nombreuses espèces méditerranéennes.

 

Dans sa partie basse, se dresse le temple de Diane :

 

C’est le monument le plus énigmatique de Nimes. Certainement associé au sanctuaire impérial, sa fonction exacte reste encore inconnue.

 

La Tour Magne à Nimes :

 

Elle domine les Jardins de la Fontaine sur le Mont Cavalier. Octogonale, la plus haute et la plus prestigieuse des tours de l’enceinte romaine se composait de trois niveaux au-dessus d’un soubassement. Aujourd’hui, le dernier étage a disparu et elle s’élève à 32 mètres au-dessus de son écrin de verdure. Par beau temps, elle constitue un magnifique point de vue permettant d’apercevoir le Mont Ventoux, les Alpilles, les Cévennes, le Mont Aigoual, le Pic Saint-Loup et la plaine du Vistre, sans oublier la garrigue avoisinante.

 

Le Castellum divisorium à Nimes :

 

Ce bassin de distribution d’eau arrivant d’Uzès via le remarquable Pont du Gard est unique. De ce bassin circulaire (5,90 mètres de diamètre – 1,40 mètre de profondeur) taillé dans le roc, des canalisations en plomb acheminaient l’eau vers les monuments, les fontaines et les différents quartiers de la cité antique de Nimes.

 

La Porte d'Auguste à Nimes :

 

Porte de la ville sur la Voie Domitienne en direction de Béziers. Visible depuis la Place Montcalm.

 

Le Musée des Beaux-Arts à Nimes :

 

Construit en 1907 sur les plans de l'architecte nimois Maximilien Raphel, il a été réaménagé en 1986-1987 par l’architecte Jean-Michel Wilmotte. Le musée abrite, outre de nombreuses peintures françaises, flamandes et hollandaises, des œuvres italiennes des XVIe siècle et XVIIe siècles, et une collection remarquable de peintures françaises des XVIIIe siècle et XIXe siècles.

 

Le Musée du Vieux Nimes :

 

Il est installé dans l’ancien palais épiscopal qui date de la fin du XVIIe siècle. Les collections offrent au visiteur un voyage dans le temps et présentent la vie à Nimes depuis la fin du Moyen Âge.

 

Le Musée des Cultures Taurines à Nimes :

 

Inauguré en mai 2002, ce lieu unique en France permet de découvrir une culture vivante qui perdure depuis l’Antiquité autour du culte du taureau et offre un véritable panel des traditions régionales et internationales.

 

Le Musée archéologique de Nimes :

 

Installé dans l'ancien collège des Jésuites (17ème), il présente des collections de l’âge du fer à l’époque gallo-romaine : céramiques sigillées, vaisselles en bronze, parures, objets artisanaux, collections d’inscriptions latines et verreries romaines.

 

Le Muséum d’histoires naturelles de Nimes :

 

Egalement installé dans l'enceinte du collège des Jésuites, ce musée fut aménagé en 1892. Il abrite de très riches collections relevant des domaines des sciences de la nature, et des sciences de l’homme.

 

La Chapelle des Jésuites à Nimes :

 

Datant du XVIIe siècle et classée au titre des monuments historiques, elle accueille aujourd’hui des expositions temporaires et des manifestations culturelles.

 

Evénements culturels et festifs à ne pas manquer à Nimes :

 

La ville de Nimes est connue pour ses Feria :

- la Feria de Pentecôte, - la Feria des Vendanges en septembre - la Feria de Primavera, en février.

 

A cette occasion, des corridas sont organisées, avec ou sans mises à mort, dans les arènes romaines. Les rues de Nimes sont envahies par des peñas (orchestres de rue d'origine espagnole), et des bodegas (bars souvent temporaires) ouvrent au centre ville en caves ou en extérieurs.

  

 

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